Supernova (2000)

supernova

L’histoire : Le vaisseau d’assistance Nightingale reçoit un message de détresse d’une lune minière se trouvant à plusieurs milliers d’années-lumière. Le vaisseau va se retrouver à proximité d’une supernova et en panne. Le temps sera alors compté avant de pouvoir repartir avant l’explosion de la planète. Sur place l’équipage va retrouver un jeune homme prétendant être un récupérateur. Mais son comportement étrange va vite interroger l’équipage.

Ce que j’en pense : Voici sûrement le dernier film visionné pour le Summer Star Wars et j’avoue que j’aurai pu finir d’une meilleure manière, là on est dans une apothéose négative. Le scénario est ridicule, il part dans tous les sens : le film catastrophe avec la nécessité de fuir l’explosion de la supernova, le film d’horreur avec le jeune au comportement bizarre, le huis-clos intimiste avec les personnages qui ont un passé trouble et qu’ils ont du mal à assumer.

Je n’ai pas envie de critiquer les acteurs mais retrouver dans un même film plein de seconds rôles du ciné et qui réussissent parfois à percer dans les séries. La palme revient quand même à James Spader qui fait le monolithe revenu de tout, sur qui la destinée du vaisseau repose. Ce qui est ridicule c’est qu’il n’est même pas impressionnant. Et puis il y a Robin Tunney, huit ans avant The Mentalist, qui avec ses yeux de biche fait tourner le cœur des mâles du vaisseau, un rôle cliché pour une fille.

Comme c’est le dernier film vu dans le cadre du challenge, je dois me rendre à l’évidence : le space-opera peut être synonyme de navets au cinéma. Heureusement qu’il y a les grosses séries Star Wars et Star Trek, et quelques exceptions pour relever le niveau.

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